From bf9cbae0ec35e164397ef484c28c79bed6163a2d Mon Sep 17 00:00:00 2001 From: =?UTF-8?q?Fran=C3=A7ois=20Pelletier?= Date: Sun, 3 Nov 2019 18:49:58 -0500 Subject: [PATCH] correction mineure fin rapport --- rapport.md | 6 ++++-- 1 file changed, 4 insertions(+), 2 deletions(-) diff --git a/rapport.md b/rapport.md index 14fc335..9aa16d1 100644 --- a/rapport.md +++ b/rapport.md @@ -168,24 +168,26 @@ L'analyseur syntaxique utilisé est Stanford CoreNLP Parser. C'est un analyseur Cet algorithme simple parvient à identifier correctement la portée de la négation dans 13 des 15 phrases. Voici les phrases où l'algorithme a échoué et une analyse des causes potentielles : +### Erreur 1 > It is not so much a work of entertainment as it is unique study ![Erreur 1](erreur_1.png) On remarque que la négation *not* est directement associée au groupe verbal, et que tous les autres groupes en sont des sous-groupes. Ce qui fait de sorte que l'entièreté du groupe est associée à la négation, en tant qu'arbre le plus profond comportant la négation. Pour obtenir le même résultat que le fichier de validation, il faudrait être en mesure d'exclure le groupe subordonné (SBAR) de l'analyse par une règle. +### Erreur 2 > I would never do it even if I can. ![Erreur 2](erreur_2.png) Dans le fichier de résultats, le verbe *do* n'est pas associé à la négation, mais dans plusieurs autres exemples, la négation est associée au verbe. On ne peut donc pas conclure que c'est vraiment une erreur de l'algorithme. Autrement, il faudrait écrire un algorithme différent lorsque le mot négatif est *never*. +\pagebreak + ## Conclusion En utilisant l'analyse syntaxique par constituants, on peut identifier la portée de la négation dans plusieurs types de phrases différentes. -\pagebreak - # Références ## Classification de textes